La guérison la plus naturelle et la plus normale "Jacob Lorber"

Publié le par estaran

La guérison la plus naturelle et la plus normale

Le Grand Évangile de Jean, III/12, 8-10

(Le Seigneur parle:) « Je suis un Sauveur: comment puis-Je faire de telles choses ? Se demandent les hommes morts, donc tout à fait aveugles. Or. Je vous le dis, Je ne guéris pas la chair, mais, chaque fois qu'une âme n'est pas encore indissolublement confondue avec sa chair, Je Me contente de libérer cette âme et, dans la mesure où cela est possible, d'éveiller l'esprit enfoui dans cette âme. Celui-ci fortifie aussitôt l'âme qui devient libre, et il est alors facile à cette âme de rétablir instantanément l'ordre normal au lieu des infirmités de la chair.

On appelle cela une guérison miraculeuse, alors qu'il s'agit véritablement de la guérison de la chair la plus naturelle qui soit! Tout un chacun peut donner ce qu'il a: mais nul ne peut donner ce qu'il n'a pas !

(**)

Le texte de ce chapitre n'est pas un texte dicté à Jacob Lorber, mais un texte de l'éditeur allemand (le Lorber Verlag), donnant quelques indications sur le pourquoi et l'origine de ces remèdes. (N.d.T.)

(***) De 1851 à 1852. Déjà signalé en note de bas de page au chapitre précédent et au chapitre 9 de cette partie III. (N.d.T.) 90

Celui qui possède une âme vivante selon l'ordonnance divine et dans cette âme un esprit libre, celui-là peut aussi – libérer, lorsqu'elle n'est pas encore par trop incarnée, l'âme de son frère, et celle-ci guérit alors très facilement sa propre chair malade. Mais si le médecin de l'âme a lui-même une âme très malade et bien plus morte que vivante, comment pourra-t-il donner à une autre âme ce qui lui fait à lui-même entièrement défaut ?! »

Publié dans LA SANTE

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